Je m’appelle sophie, j’ai 24 ans et je me vois infirmière dans un asile de province. C’est un professionnel que j’aime extraordinairement, mais qui me bouscule des tonnes. Il y a l’intensité du quotidien, les émotions qu’on maintienne pour main, et cette pression silencieuse de toujours contretype être grande. J’ai logé à parlem